“I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos
Orphan C. Hrafn
the skinwalker.
⊰ Date d'arrivée à Toronto : 07/06/2015 ⊰ Nombre de Méfaits : 122 ⊰ Fragments d'Ombre : 3307 ⊰ Nom de l'Avatar : Travis Fimmel ⊰ Crédits : Romanova ⊰ Couleur Rp : White ⊰ Origine du Personnage : Changeur - Corbeau
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Sujet: “I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos Ven 19 Juin - 2:22
“I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.”
ft. Orphan & Elyos
Un vibrement cassa le silence ambiant. L'espace d'une seconde, comme un lointain écho aussi vite parti qu'arrivé. Un deuxième et un troisième. Orphan ouvrit un œil, il ne voyait rien, il ne voyait que la timide lueur de son téléphone au loin. Il se retourna dans son lit, le rayon de soleil qui lui chatouillait les pieds lui indiquait qu'il était l'après midi. Encore une journée de perdu, il s'en foutait, il n'était pas du genre à vouloir sortir au soleil. Orphan se rendormit dans un profond sommeil. Quand il les rouvrit, il devait être pas loin de 18 heures, Orphan se motiva et se leva, un léger tournis le fit tituber sur quelques pas, il avait un peu trop abusé hier. Il alla voir son portable, comme d'hab, quelques textos pour le boulot, il traiterai ça plus tard. Il enfila un pantalon et ouvrit la fenêtre, ça sentait le chacal, il fallait un peu aérer. Il se dirigea machinalement faire la cuisine et mis sa cafetière italienne sur le feu. Il retourna faire la fenêtre et observa la rue, comme d'habitude, des fourmis s'occupaient de rentrer dans leur tanière après leur journée de dur labeur. Il continua de fixer sans but l'horizon lorsque qu'un sifflement se déclencha, signe que le café était près. Orphan se servi un mug, attrapa son paquet de cigarettes, son portable et monta sur le toit. Il se cala sur les coussins qu'il avait installé hier. Il avait vu sur le quartier, perché en haut, un petit courant d'air frais vint chatouiller ses mèches de cheveux. Le toit était la partie préféré de son appartement, s'il aurait pu accrocher un hamac, il l'aurait fait. Il attrapa son portable et répondit à ses messages en buvant son café brûlant.
En fouillant dans son portable, Orphan retomba sur le numéro d'Elyos, et buta dessus quelques secondes. Cela faisait maintenant 3 semaines qu'ils ne s'étaient pas revu, pas depuis l'incident de la dernière fois. Orphan avait littéralement pété les plombs et Elyos lui avait bien fait comprendre. Il avait été dur avec ses mots, Orphan ne s'était toujours pas remis. Elyos l’empêchait d'être lui même, il lui faisait un effet terrifiant, c'était pas comme ça au début, mais les sentiments évoluent avec le temps. Orphan a failli le rappeler plusieurs fois mais une peur ancestrale l’empêchait de faire le premier pas, il avait peur de sa réaction, et si il ne voulait plus jamais le voir ? Orphan ressassait ses sombres souvenirs. Une boule se noua dans son estomac, mais pourquoi était-il si mal, lui qui avait vu périr la personne qui l'avait élever, il avait pourtant surmonter plus dur.
Bon c'en était trop, il fallait qu'il retourne le voir, qu'il s'explique, qu'il essaye d'arranger les choses, qu'il lui avoue peut être ses sentiments. Son sang ne fit qu'un tour et il se leva, dévala l'échelle et partit prendre une douche, il le voulait pas puer le chacal. Après une douche courte mais efficace, Orphan enfila un jeans et un sweat à capuche, prit le nécessaire et retourna sur le toit. Il prit une grand inspiration, il ne savait pas vraiment ce qu'il faisait mais il faisait quelque chose au moins. Il sauta dans le vide et se transforma en Corbeau avant d'atteindre le bas, En quelques coups d'ailes, il retrouva les hauteurs de Toronto et se mit en direction de la maison du Sélénim, Son cerveau carbura durant le trajet, imaginant les explications qu'il donnerait, les réactions qu'il pouvait avoir. Il traversa la ville en quelques minutes et commença à voir la où il se rendait, une ancienne maison victorienne, Le Sélénim contrairement au corbeau avait le goût du luxe. La lumière était allumé, au moins, Orphan n'avait pas fait tout le chemin pour rien. Orphan atterrit dans une ruelle non loin et revenu sous forme humaine. Il s'alluma une cigarette par le stress et la capuche sur la tête s'avança vers la vielle demeure, il rentra sur la propriété et arriva sur le porche. Il jeta sa cigarette, retira sa capuche et avança le poing vers la porte, une légère hésitation, non, il n'avait pas traversé la moitié de la vile pour rien. Il donna trois coups fermes et attendit. La porte s'ouvrit, Elyos était sur le porche, c'était lui. « Euh .. salut.» Un silence gênant s'installa, Orphan ferma les yeux et secoua la tête, il avait été idiot. « Enfaîte, j'aurai pas dû, excuse moi pour le dérangement. » Il fit volte face et s’avança vers la rue, la gorge se noua.
Elyos K. Seldzar
the offspring of angels.
⊰ Date d'arrivée à Toronto : 22/05/2015 ⊰ Nombre de Méfaits : 756 ⊰ Fragments d'Ombre : 3604 ⊰ Multi-compte(s) : Anna & Jolynn ⊰ Nom de l'Avatar : mathias lauridsen ⊰ Crédits : applestorm ⊰ Couleur Rp : tan ⊰ Origine du Personnage : selenim samaëlien
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Sujet: Re: “I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos Ven 19 Juin - 20:05
I could easily forgive your pride
if you has not mortified mine
Tu rentres enfin du travail. Tes derniers clients ont été particulièrement bruyants. Et chiants, il faut le dire. A s'accuser et à s'insulter tout au long de la séance. Ils ont réussi à te rendre irritable. Bien que tu ne leurs ais pas montré. Tu sais encore rester professionnel. Néanmoins, c'est le genre de fin de boulot qui te font maudire un peu plus les couples d'humains superficiels. Tu t'amuses souvent à écouter leurs problèmes insignifiants. Mais dans le calme. Tu as horreur quand ça s'agite pour un rien. Tu n'as qu'une envie, c'est de te poser un peu chez toi. Au calme. Dans le silence le plus complet. Tu n'es vraiment pas d'humeur à vouloir sortir. Ou à rester sociable aujourd'hui. Tu accroches ta veste dans l'entrée. Et tu as à peine le temps d'aller dans ta cuisine que quelqu'un toque à ta porte. Au lieu de sonner. Ce détail t'agace un peu plus. Tu ne veux voir personne. Tu es trop irritable pour ça aujourd'hui. Après avoir hésité un instant à répondre, tu pars ouvrir quand même. Histoire de se débarrasser rapidement de l'individu indésirable devant ta porte. « C'est pas le ... » Tu te tais. Quand tu croises les opales bleues d'Orphan. « Euh … salut. » Tu ne réponds rien. Parce que tu ne sais tout bonnement pas quoi lui dire. Tu ne t'attendais pas à le revoir. Mais vraiment pas. Après sa petite crise et ton sermon. Avec parfois des mots un peu durs, tu en conviens. Tu as cherché à être blessant, tu ne peux pas le nier. Tu voulais qu'il comprenne qu'il avait dépassé des limites. Et tu ne peux pas l'accepter. Ton travail est important. Quoi que tu en penses. Et sa scène devant tes clients, c'est juste inacceptable. Et tu ne parles même pas du geste déplacé qu'il a eu. A quel moment as-tu pu lui faire croire qu'il y aurait un peu plus que de l'amitié entre vous ? Et même si tu avais montré que tu t'intéressais à lui, plus intimement, il y a des manières de faire. Et il a choisi la mauvaise. Pas que cet aspect de votre relation te rebute, c'est juste que tu ne l'avais jamais envisagé. Il a amené le sujet trop brusquement à ton goût. Et vraiment pas au bon endroit, et surtout pas au bon moment. Sans parler dans l'état dans lequel il était. Tu t'imaginais déjà que c'était la fin de votre amitié. Ou qu'importe que le nom de votre relation. Et bien entendu, il était hors de question que ce soit toi qui revienne vers lui. Par fierté. Par orgueil. Et surtout parce que son comportement irraisonné t'a un peu blessé. Déçu, aussi. Mais maintenant, qu'il est face à toi. La mine déconfite. Tu regrettes un peu. Un incident et tu remets tout en question ? Malgré les années qui vous unissent. Malgré la confiance installée. Et bien oui. Tu ne veux pas t'entourer de personnes aussi instables. Ouais, tu aimes faire tout un tas de conneries, mais il faut savoir s'arrêter. Et se fixer des limites. Et tu n'es vraiment pas certain qu'il puisse y arriver. « Enfaîte, j'aurai pas dû, excuse moi pour le dérangement. » C'est qu'il arrive à te faire culpabiliser le con. C'est qu'il se barre vraiment en plus. Tu lèves les yeux au ciel, exaspéré par son attitude de gosse. Il est plus facile à vivre quand tu as de l'alcool dans le sang, faut croire. Qu'est ce que tu fais ? Tu le laisses s'en aller ? Non, tu ne peux pas. Il faut que tu le sermonnes une nouvelle fois. Que tu le remettes à nouveau à sa place. Sinon, vous n'en finirez jamais. Et puis peut-être, qu'au fond, tu ne veux pas vraiment renoncer à ce que vous avez construit ensemble. Tu préfères mettre cette réponse de côté. Parce que ça t'écorcherait la bouche de l'avouer. « Orphan, attends. » Tu le hèles. Mais tu ne cours pas le rattraper. Il ne faut pas exagérer. Tu n'es pas de ce genre là. « Allez, viens. Entre. » Tu montres peut-être un peu trop ton agacement. Mais tu t'en fous. Tu espères simplement qu'il ne continuera pas à jouer au gamin. Et à accepter ton invitation. Maintenant qu'il t'a ''dérangé'' comme il le dit si bien. Mais fort heureusement pour toi, et pour lui, il te suit à l'intérieur. Tu refermes la porte derrière vous. Et c'est en silence que tu rejoins à nouveau la cuisine. Le métamorphe sur les talons. Tu sors deux bières du frigidaire. Les décapsules. Puis tu en fais glisser une sur l'îlot central pour la donner à Orphan. Il n'a pas l'air décidé à parler. Alors, bordel, pourquoi est-il là ? Tu te cales contre le plan de travail. Avant de boire une gorgée. « Bon, qu'est-ce que tu voulais ? » Tu es encore un peu brusque. Ce n'est peut-être pas de cette manière que tu vas l'aider à s'exprimer. « Désolé, j'ai eu un couple particulièrement difficile pour terminer ma journée. » Tu essayes de t'adoucir. Mais mentionner ton boulot devant lui ne fait que te rappeler l'incident qui s'y est produit.
Orphan C. Hrafn
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Sujet: Re: “I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos Sam 20 Juin - 4:08
“I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.”
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« Orphan, attends. » La voix du Sélénim résonna à l'intérieur d'Orphan qui se stoppa net dans sa course, il ne savait pas quoi faire, il venait encore de passer pour un con, il se retourna et se retrouva nez à nez avec les yeux perçants d'Elyos, ils étaient froids et durs, Orphan avait rarement connu ce visage si fermé, il l'avait vraiment contrarié, il fit deux pas en avant, maintenant qu'il était là et qu'il s'était déjà dégonflé une fois, il ne pouvais pas reculer. « Allez, viens. Entre. » Ses paroles étaient emplis d'agacement, la soirée allait être longue, Orphan prit son courage à deux mains et avança vers le porche, il passa devant lui et rentra à l'intérieur, un coup de pression se fit ressentir quand il passa au plus près de lui. C'était étrange, une ambiance pesante alourdit ses épaules, une fois à l'intérieur, il se sentait déjà mal mais le luxe qui l'entourait n'arrangea pas les choses, tout était droit, tout était à sa place, tout avait l'air d'avoir été mis là au millimétré. Il osait pas se le dire, mais Orphan faisait une intolérance à l'ordre, ça le rendait pas bien. Cette vilaine sensation ne n'être chez personne, que tout est trop parfait pour que ça soit chez quelqu'un, cela puait le conformisme enrobé d'une couche de luxure exubérant. Mais dans quoi il s'était fourré franchement. Il suivit Elyos jusqu’à la cuisine, ses pas étaient machinales, froids, vous savez comme de ceux qui vont bientôt découper leurs victimes en petits morceaux avant d'en faire un ragoût. Orphan se sentait vraiment pas bien. Il était entrain de tous absorbé, sauf qu'a un moment ça allait pété, et fort en plus. Ils arrivèrent dans la cuisine, Elyos sortit de bière du frigo et en fit glisser une au corbeau, au moins il n'avait pas perdu les vielles habitudes. « Bon, qu'est-ce que tu voulais ? » Bim, dans ta face sans politesse et délicatesse. Orphan se perdit dans ses pensées. Il but une gorgée de bière, n'osant à peine regarder le regarder dans les yeux. Il cherchait ses mots, ne savant pas par quoi commencer.
« Désolé, j'ai eu un couple particulièrement difficile pour terminer ma journée. » Merci de prévenir, il leva les yeux et eu le courage d'ouvrir la bouche. « Non mais t'excuses pas, enfin si, enfin .. euuh » Un truc à peu près comme ça. Orphan se prit la tête. « Putain, mais qu'est ce qui tourne pas rond chez moi. » Il leva ses yeux et croisa ses pupilles bleutés . « Bon, déjà, j'crois que je peux présenter des excuses pour ... l'autre fois » C'était déjà ça, Orphan attrapa son cendrier de poche et s'alluma une cigarette, il aspira fort et un nappage de fumée l'envahit quand il expulsa le tout. « Putain, j'ai déconné, je sais, cette connasse de chimère m'avait pompé toute mon énergie, un produit est mal passé et j'ai pété une durite, c'était la première et seul fois que ça m'a fait ça. Et comme tu peux le voir, ça m'a foutu en l'air, crois pas que c’était encore une connerie. » Orphan se relâcha, ça faisait du bien. « Et arrêtes de me regarder avec ce regard méprisant, j'suis pas un gosse. » C'était sorti tout seul, Orphan soupira, pourquoi ça pouvait pas être simple.
Orphan tira une longue bouffée, il regardait dans le vide. « J'ai mis du temps à l'admettre, mais putain, tu m'as ensorcelé mec. » Orphan senti qu'il allait se braquer. « Je sais que t'y ai pour rien, que ça te tombe sur le coin de la tronche, mais à moi aussi, j'suis entrain de me demander si je m'en serais bien passé ... » Orphan but une gorgée de bière, il n'avait pas bronché, c'était déstabilisant, Orphan ne pouvait rien lire sur son visage. « Et par pitié, ne flippes pas, j'suis pas un psychopathe, on se connaît depuis un bout de temps. » Voilà, il avait tout déballé, maintenant à voir si ça passe ou ça casse.
Elyos K. Seldzar
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Sujet: Re: “I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos Sam 20 Juin - 6:28
I could easily forgive your pride
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« Non mais t'excuses pas, enfin si, enfin .. euuh » Tu lèves les sourcils. Qu'est-ce qui lui prend ? « Putain, mais qu'est ce qui tourne pas rond chez moi. » Tu te le demandes aussi. Tu ne l'as jamais vu aussi confus. Hormis avec quatre grammes d'alcool dans chaque bras. « Bon, déjà, j'crois que je peux présenter des excuses pour ... l'autre fois » Et bien. Enfin. C'est pourtant la moindre des choses à tes yeux. Et il aurait dû le faire il y a un moment déjà. En même temps, la seule fois où tu l'as vu après l'incident, tu ne l'as pas laissé en placer une. Bien trop occupé à lui gueuler dessus. A le rabaisser. Pour lui faire comprendre que tu n'as pas apprécié sa crise déplacée. Oui, tu ne lui as carrément pas laissé la parole. Mais ce n'est pas une raison. Il aurait pu venir plus tôt que ça. Ses excuses seraient même mieux passées. Mais au lieu de ça, il a préféré laisser la situation s'envenimer. Et en quelle honneur d'ailleurs ? Il sait mieux ranger sa fierté et son orgueil que toi. Et puis, c'est lui qui est en tort. C'est lui qui a débarqué dans ton bureau en pleine séance. Et pour offrir un spectacle que personne ne voulait voir. Néanmoins, il a fini par revenir vers toi. Alors tu as la décence de ne pas lui couper la parole. Malgré son discours plus que confus.
Tu retiens un souffle d'exaspération quand il allume sa cigarette. Mais il ne te laisse pas le temps de placer une réplique. Pour montrer un peu plus ton agacement. Non, il préfère s'enfoncer dans ses explications.« Putain, j'ai déconné, je sais, cette connasse de chimère m'avait pompé toute mon énergie, un produit est mal passé et j'ai pété une durite, c'était la première et seul fois que ça m'a fait ça. Et comme tu peux le voir, ça m'a foutu en l'air, crois pas que c’était encore une connerie. » Une chimère ? Quelle chimère ? Tu penses tout de suite à Phoenix et Katniss. Mais non, ce ne sont pas elles. Mais avec qui il traîne encore ? Il ne sait décidément pas bien s'entourer. Alors que tu mets un point d'honneur à fréquenter les ''bonnes'' personnes. Tu as dû faire une erreur avec Orphan. Tu aurais dû le voir. Que c'est un gamin. Capricieux. Irresponsable. Avec toutes les conneries que vous avez faites ensemble. C'est plus qu'évident maintenant. Mais non, tu l'as invité à Toronto. Si tu avais su le désastre que ça provoquerait ...« Et arrêtes de me regarder avec ce regard méprisant, j'suis pas un gosse. » Tu ne peux pas t'empêcher de sourire et d'adoucir ton regard. Parce qu'il vient de lire dans tes pensées.
« J'ai mis du temps à l'admettre, mais putain, tu m'as ensorcelé mec. » Quoi ? Qu'est-ce qu'il raconte encore comme conneries ? Tu n'as rien fait. Absolument rien. Pas à un moment tu lui as montré ce genre d'intérêt là. Pas une fois tu as été entreprenant. Parce que ça ne t'as jamais traversé l'esprit. Un pote de beuverie. Plus tard un ami. Oui. Mais c'est tout. D'où il sort cette histoire d’ensorcellement ? Tu essayes néanmoins de rester impassible. Histoire de ne pas le vexer. Tu n'apprécierais pas que Phoenix se foute de toi si tu lui avouais quelque chose dans le même genre. « Je sais que t'y es pour rien, que ça te tombe sur le coin de la tronche, mais à moi aussi, j'suis entrain de me demander si je m'en serais bien passé ... » Toi aussi. Tu sais que les femmes c'est compliqué. Mais tu ne te doutais pas que les mecs aussi. « Et par pitié, ne flippes pas, j'suis pas un psychopathe, on se connaît depuis un bout de temps. » Justement, ça fait un moment depuis votre première soirée. Et tu ne l'as jamais vu comme ça. Vraiment pas. C'est à te demander si tu le connais réellement. Puis, en fait, tu n'as rien compris à son monologue. C'est la faute d'une chimère. Puis de la tienne. Ou c'est le mélange des deux ? Ou alors c'est juste Orphan qui délire complètement ?
Le silence s'installe. Peut-être un peu trop longtemps. Mais tu as du mal à trouver tes mots. Il te prend un peu de court avec cette révélation. Et tu ne sais pas quoi faire de cet aveu. « Tu devrais arrêter de fréquenter cette chimère. » Tu ne plaisantes pas. Tu es tout à fait sérieux. De l'inquiétude ? Oui, un peu. Tu ne peux pas le nier. Mais c'est surtout, qu'elle n'a décidément pas une bonne influence sur lui. Et la prochaine fois, mais tu espères qu'il n'y en n'ait pas, tu ne prendras pas la peine d'écouter ses excuses. Tu hésites à changer de sujet. Pour revenir sur la chimère et cette histoire de pompage d'énergie. Mais il va bien falloir que tu t'exprimes sur la bombe qu'il vient de lancer. Alors autant le faire maintenant. Tu poses la bouteille de bière que tu as eu le temps de finir en l'écoutant. « Tu aurais dû me le dire avant. » Avant de faire une crise aussi grotesque. Et de t'humilier devant tes clients. Tu as une réputation à tenir pour continuer à vivre ici avec ce travail. Le couple qui a assisté à la scène ne sont d'ailleurs jamais revenus. « Parce que ce n'est vraiment pas mieux que je l'apprenne comme ça. » Aussi brusquement. Tu n'aimes vraiment pas être surpris de cette manière. Mais le pire, c'est que si ça c'était passé autrement, ta réaction aurait pu être complètement différente. Et tu tiens à le lui préciser. Pour qu'il arrête avec son regard brisé et gêné à la fois. Il se cache presque. En restant éloigné. Avec l'îlot central comme protection. « Sincèrement, je ne t'aurai pas repoussé comme ça. »
Orphan C. Hrafn
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Sujet: Re: “I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos Dim 21 Juin - 15:37
“I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.”
ft. Orphan & Elyos
Une ambiance pesante se répandit dans la pièce. Après ce qu'avait balancé le corbeau, cela était logique, Orphan fixait Elyos dans les yeux, il semblait chercher ses mots, En même temps, Orphan ne lui avait pas demandé combien font un plus un. « Tu devrais arrêter de fréquenter cette chimère. » Le Sélénim balança cette phrase qu'alors que le corbeau était entrain de boire une gorgée, cela le fit rire nerveusement et il failli s’étouffer avec le breuvage. Elyos n'avait pas tord, mais bon, s'il faisait ça, elle briserait leur accord et recommencerait à tuer des humains. « Tu n'as pas tord, mais bon, ça me fait pas plaisir, je fais ça pour protéger des humains, elle se nourri sur moi au lieu de se nourrir d'humains et les tuer dans l'acte la plupart du temps .. » Le Sélénim trouverait ça ridicule, lui qui méprise ce qui est plus faible que lui. Orphan finit sa bière et la posa sur l'îlot, il écrasa la cigarette dans son cendrier, il fut gêné l'espace de quelques secondes, il ne savait pas quoi faire de ses mains, avant de les mettre dans ses poches. Elyos l’intimidait toujours, enfin du moins, l'aura qu'il dégageait empêchait le corbeau de raisonner logiquement, sans le vouloir ni même le savoir, l'étalon avait emprise sur le corbeau. Il avait envie de le prendre dans ses bras, très envie, mais il se retint, c'était pas comme ça qu'il arrangerait les choses. Il restait donc là, à baisser ses iris bleus, en fixant la bière vide, il avait besoin de passer à plus fort là.
« Tu aurais dû me le dire avant. » Si c'était aussi simple .. Orphan n'était pas très fort pour décrypter ses sentiments, ça lui tombait le plus souvent sur la tronche sans qu'il puisse y faire grand-chose. Orphan était aussi surpris que lui, comme une bonne grosse tarte dans la gueule. Mais le ton d'Elyos était plus calme, moins froid, Orphan commençait à se détendre, la bière l'aidait un peu. « Parce que ce n'est vraiment pas mieux que je l'apprenne comme ça. » Orphan était d'accord sur ce point, Orphan avait un sérieux problème à amener les choses tranquillement, c'était un peu brute de décoffrage. Il s'en voulait encore, et s'en voudra encore une bonne partie de son existence. Il se souvenait de la belle époque, quand la relation qu'il entretenait avec Elyos était intuitive, sans prise de tête. Ils se retrouvaient, étaient content de se revoir et se saoulaient comme des cochons. Mais, ils venaient d'atteindre le point de non-retour, jamais plus cela ne pourrait être comme avant. Une certaine nostalgie pinçât le cœur du corbeau. Le pire, c'est qu'il n'avait que peu de souvenirs de l'incident, il se souvint des grandes lignes, mais ils n'arrivaient plus à percevoir, les émotions qui l'avaient traversés à ce moment là. Et malgré ses 100 ans d’existence, être amoureux était encore tout nouveau pour lui, il avait aimé son mentor, mais ce n'était pas le même amour, Ses anciennes histoires d'amour furent courtes mais moins intenses, Orphan était plus adepte du coup d'un soir. Mais il devait avouer que là, c'était différent, différent car il ne se passait pas la même chose dans son corps. Pourquoi était-il tombé amoureux du Sélénim, manifestement, il n'était plus l'aventurier qu'il avait connu, il s'était rangé, il s'était embourgeoisé, il était devenu plus rigide. Mais bon, l'amour a ses raisons que la raison ignore.
« Sincèrement, je ne t'aurai pas repoussé comme ça. » Le corbeau lui sourit, cette affirmation tirailla Orphan entre la joie et la tristesse, au moins, il ne le détesta pas, mais bon, il avait un peu raté l'occasion que ça se passe bien. Orphan eut un rire nerveux. « J'ai vraiment tout gâché, n'est ce pas ? » Orphan planta ses yeux dans les sien. « Tu sais que je remonterai le temps, si c'était possible. » Dieu qu'il en avait envie ! « Mais bon, c'est fait, c'est fait, j'pourrais continuer à m'excuser pendant encore deux millénaires, ça changera jamais ce que j'ai fait. » Orphan se leva et regarda par la fenêtre, la nuit avait complètement gagné la ville. « Tu sais, je comprendrais si tu voulais plus me revoir. » Il se retourna ers son hôte. « C'est pas ce que je veux, mais je pourrai l'accepter. » Le corbeau eut un flashback, quelque chose qu'il avait entendu dernièrement. « Tu sais, notre aventure à Las Vegas, elle fait encore parler d'elle, on l'appelle l'hélicoptère bourré et c'est presque devenu un mythe. » Orphan esquissa un sourire face à ce souvenir, il s'en souviendrai de cette aventure sur le Strip.
Elyos arrivera-il a pardonner à Orphan, ce dernier avait ce questionnement dans la tête depuis le début, il n'arrivait pas à le verbaliser. Le silence fut rompu quand la sonnette de l'entrée retentit. Orphan arqua les sourcils. « Tu attendais quelqu'un ? »
Elyos K. Seldzar
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Sujet: Re: “I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos Dim 21 Juin - 22:22
I could easily forgive your pride
if you has not mortified mine
Empêcher de tuer des humains ? Mais pourquoi faire ? Tu n'as rien de spécial contre eux. Au contraire, se sont les cibles que tu préfères manipuler. Elles sont plus utiles vivantes que mortes. Et puis, même si tu considères que ta race est supérieure aux autres, un métamorphe comme Orphan, et surtout lui, ne mérite pas un petit sacrifice pour leur sauver la vie. C'est plus que grotesque. De quoi il se mêle en plus ? Surtout s'il ne fait pas ça pour le plaisir. Il n'a qu'à dire stop. Et le reste on s'en fout. Tu retiens néanmoins tes mots. Tu gardes tes leçons de morales pour plus tard. Il n'a pas besoin d'un autre de tes sermons. Enfin si, il a carrément besoin qu'on lui dise comment agir correctement. Mais tu as assez de respect pour ne pas l'enfoncer.
« J'ai vraiment tout gâché, n'est ce pas ? » Un peu. Sûrement. Le tout est de déterminer si c'est rattrapable ou non. Et c'est à toi de le faire. Mais tu en ignores complètement la réponse. Alors tu te contentes de soutenir son regard. Sans rien laisser transparaître. Puisque tu ne sais tout bonnement plus quoi penser de tout ça. « Tu sais que je remonterai le temps, si c'était possible. » « Oui moi aussi. » Mais ce genre de connerie laissera une trace, non ? Sans compter les mots durs que tu as pu lui balancer par la suite. « Mais bon, c'est fait, c'est fait, j'pourrais continuer à m'excuser pendant encore deux millénaires, ça changera jamais ce que j'ai fait. Tu sais, je comprendrais si tu voulais plus me revoir. C'est pas ce que je veux, mais je pourrai l'accepter. » Et toi ? C'est ça que tu veux ? Oui, son comportement t'a blessé et surtout déçu. Mais de là à tirer un trait sur votre amitié … Si c'est encore possible qu'elle puisse exister entre vous après cette révélation. Parce que si de ton côté, quelque chose de plus intime n'est clairement pas envisageable, tu sais que la gêne qui s'installera entre vous achèvera votre relation. Mais si tu fais le second pas vers lui ? Et bien tu n'es clairement pas fait pour quelque chose de plus stable ou sérieux. Sinon, tu n'aurais pas quitté ta femme et ton gosse pour devenir indépendant et libre de toute contrainte. Tu as une saleté d'impression. Celle d'être dans une impasse. Et ça t'empêche de répondre quoi que ce soit. Bordel, tu veux le revoir ou non ? Ce n'est pourtant pas si compliquée comme question.
« Tu sais, notre aventure à Las Vegas, elle fait encore parler d'elle, on l'appelle l'hélicoptère bourré et c'est presque devenu un mythe. » Tu apprécies le changement de sujet. Et souris à ton tour à l'évocation de ce souvenir. A l'époque où tout était plus simple entre vous. Quand les conneries vous les faisiez à deux. Ensemble et pas l'un contre l'autre. « C'était un vol et un crash mémorable, on ... » La sonnerie te coupe dans ta phrase. « Tu attendais quelqu'un ? » Tu fais signe que non de la tête. Clairement, tu voulais te retrouver seul pour une fois. C'est plus que loupé. Tu laisses sonner une deuxième fois. Puis la personne semble vouloir s'acharner. Tu l'entends crier ton nom depuis l'extérieur. Et tu comprends tout de suite de qui il s'agit. « Viens avec moi. Je suis obligé d'ouvrir, sinon elle ne s'en ira pas, elle est plutôt du genre tenace. » Tu sors de la cuisine. Orphan sur tes talons. Tu poses la main sur la clenche de la porte. Mais avant de te débarrasser de l'indésirable. Il te faut un plan. Parce qu'un simple ''Non, pas ce soir, j'ai déjà de la visite'' ne suffira pas. Quelque chose te vient rapidement à l'esprit. Mais c'est plutôt tendu au vu de la situation entre toi et le métamorphe. Mais tant pis. Tu t'excuseras après s'il le faut. « Joue le jeu avec moi s'il te plaît. » Tu lui souffles ces quelques mots avant d'ouvrir la porte. Comme tu t'y attendais, tu découvres une ancienne conquête à toi sur ton palier. Le genre de bécasse avec qui tu aurais mieux fait de t'abstenir. Voilà déjà plusieurs mois que tu en fini avec elle. Mais elle ne semble pas l'avoir totalement compris. Elle revient de temps en temps encore vers toi. Et tu commençais à être à court d'excuses. Oui parce que juste lui dire que tu ne voulais plus d'elle n'a pas fonctionné. C'est pas faute d'avoir essayé. « Désolée Joyce, mais ce soir j'ai quelqu'un de spécial à la maison. » Et pour appuyer ton propos, tu places ta paume contre le bas du dos d'Orphan. « Quelqu'un de spécial ? » Elle te regarde. Puis Orphan. Un peu perplexe. Tu acquiesces et souris au métamorphe. Comme tu l'aurais fait pour séduire quelqu'un lors d'une soirée. Quelqu'un de spécial, tu ne mens pas. Tu exagères un peu trop la vérité, rien de plus. Tu culpabiliseras plus tard. Pour tirer avantage de l'ambiguïté qui s'est installé entre vous. « Elyos, je ne comprends pas. » Ça ne t'étonne pas. Il va falloir être plus explicite ou plus entreprenant pour qu'elle réalise ce que tu essayes de lui vendre comme histoire. Mais tu crains que les mots ne suffisent pas pour qu'elle assimile la situation. Tu te retiens néanmoins de faire un autre geste envers Orphan. De peur que ça lui paraisse déplacé après votre toute récente conversation.
Orphan C. Hrafn
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⊰ Date d'arrivée à Toronto : 07/06/2015 ⊰ Nombre de Méfaits : 122 ⊰ Fragments d'Ombre : 3307 ⊰ Nom de l'Avatar : Travis Fimmel ⊰ Crédits : Romanova ⊰ Couleur Rp : White ⊰ Origine du Personnage : Changeur - Corbeau
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Sujet: Re: “I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos Lun 22 Juin - 15:59
“I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.”
ft. Orphan & Elyos
Un second coup tapa la porte, celui là était plus violent, beaucoup plus violent. « Elyyyyyyyyyyyyyos ! » Une voix criarde, insupportable. Elyos fit non de la tête, alors elle aussi elle venait lui rendre visite à l'improviste. Quelle malpolie franchement.Un rictus vint perturber le visage si froid du Sélénim, aïe, il devait savoir qui c'était et il n'était pas vraiment enchanté de la visite. « Viens avec moi. Je suis obligé d'ouvrir, sinon elle ne s'en ira pas, elle est plutôt du genre tenace. » Orphan ne se fit pas prier et suivit le Sélénim jusqu’à la porte d'entrée. Qui était donc cette espèce de folle furieuse, elle n'arrétait pas de jouer avec la sonette, ça allait rendre fou le corbeau. Elyos était prêt à ouvrir la porte, mais avant, il semblait réfléchir à un plan d'attaque. Il s'approcha du changeur et lui glissa à l'oreille qu'il devait jouer le jeu avec lui. Le sang du corbeau ne fit d'un tour, il avait du mal à contrôler ses émotions, ça allait péter à un moment. Il ouvrit la porte, fidèle à sa voix, une espèce de pouf était là. Vous savez, celle qui a 4875 photos d'elle en duckface sur son portable. Elle semblait déconcerté par la présence du corbeau, probablement une ancienne conquête du gentleman à côté. Orphan arqua les sourcils, il avait plutôt mauvais goût en matière de femmes.
« Désolée Joyce, mais ce soir j'ai quelqu'un de spécial à la maison. » Orphan sentit la main d'Elyos dans le bas de son dos, il venait de comprendre le plan d'Elyos, c'était plutôt cocasse, pour qui il se prenait de lui faire ça après la conversation qu'il venait d'avoir, il avait qu'a lui rouler une pelle tant qu'a faire. Orphan commença à devenir rouge, il ne savait pas comment réagir, il commençait à être énervé, elle avait intérêt de partir vite la poulette si elle voulait subir les foudres du corbeau. « Quelqu'un de spécial ? » Elle toisa le blond du regard, puis se tourna vers Orphan, un regard plein de dédain et de jalousie manifestement. Si elle continuait comme ça, Orphan allait se la farcir. Elyos souriait au corbeau, un sourire faux, une vrai comédie, à ça, pour faire la comédie, il était fort … Orphan lui rendit son sourire, complètement faux et ça se voyait, jouer la comédie ne faisait pas parti de ses compétences, surtout connaissant les circonstances. « Elyos, je ne comprends pas. » Sale cruche. Cette petite scène complètement fausse commençait à vraiment agacé le corbeau. Il voulait couper court à cette pathétique mascarade. Et l'autre lui tendit une perche, elle devint toute rouge, elle venait de « comprendre » c'est alors qu'elle fit de grand geste, commença à hurler avec sa petite voix criarde. « Non mais, franchement, t'es vraiment qu'un gros dégueulasse, tu me plantes sans raison pour être avec … Lui. Depuis quand t'as perdu ta virilité, ça te fait kiffer de te faire ramoner le siphon ? » Ok, elle l'auras cherché. Le point de non-retour était atteint, le sang bouillait à l'intérieur de lui, ça allait chier. Il se tourna vers le sélénim et fit l'air le plus faux du monde. « Tu permets, mon amour ? » Il empoigna le col de la blondasse. « Retires ce que tu as dit sur mon mec, connasse. » Et d'un coup de tête, il l'a foutu par terre, un joli coup bien placé dans le nez. Quelque chose craqua, mais pas quelque chose de naturel. Elle se tenait le nez, elle ne saignait même pas, elle devrait s'estimer heureuse. Elle avait même encore de l'énergie pour insulter le corbeau, elle venait de se refaire le nez, il y avait une semaine, et lui venait de tout casser. Orphan éclata de rire, et agrippa la gourdasse par les cheveux et la traîna sur toute l'allée. « Et bien, maintenant, tu sauras à quoi va te servir ta rente, sale petite bourge. Quoi qu'il en soit, tu peux t'estimer heureuse, j'aurai pu y aller beaucoup plus fort, t'as pas intérêt à porter plainte, je suis un vrai fantôme, tu m'attraperas jamais et si par hasard, j’apprends que t'as refoutu ça sur le dos d'Elyos, je te préviens, je serais beaucoup moins gentil la prochaine fois, tu pourras dire adieu à tes implants mammaires. Maintenant, excuse nous, mais on a une conversation à finir. » Il l'a lâcha et la regarda filer en essayant de courir sur ses talons perchés entre deux sanglots, pauvre petite, elle n'était vraiment pas tomber au bon endroit et certainement pas au bon moment.
Voilà, il était de mauvais poil maintenant. Il remonta l'allée, repassa par le porche, Elyos était toujours là, Orphan se foutu juste devant lui, face à face. « Quoi ? J'ai crû comprendre que tu voulais qu'elle se casse, bah tu risques plus de la revoir avant un bon moment, surtout me dit pas merci. » Son regard devint plus noir. Il plaça son index sur le torse du Sélénim « Quand à toi, je t'interdis de rejouer avec mes sentiments comme ça, tu veux me rendre barge ? Putain quand je pense que tu m'as sermonné comme personne, t'aimes ça manipuler les personnes ? T'aimes ça jouer les fausses personnes ? » Orphan soupira. « Redescend de ton pied d’Estale, mec t'as rien d'exceptionnel. Sauf pour moi apparemment ... » Il fallait qu'il se calme, il rentra dans la maison, retourna dans la cuisine et s'assit sur une chaise haute, autour de l’îlot. Il sortit sa boite où il rangeait son herbe qui faisait rigoler, il commença à rouler. Il s'en voulait, encore une fois, il avait agit sans réfléchir, mais bon, elle l'avait cherché cette connasse. Quand Le sélénim revint dans la cuisine, Orphan fit la moue. « Bon, j'me suis encore une fois laissé emporter par mes sentiments, j'vais pas m'excuser, j'ai l'impression de faire ça toutes les minutes depuis que je suis ici. T'aurais quelque chose plus fort que la bière ? » Orphan s’attendait à un autre sermon, mais cette fois çi, il aura du répondant, il le jura.
Elyos K. Seldzar
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⊰ Date d'arrivée à Toronto : 22/05/2015 ⊰ Nombre de Méfaits : 756 ⊰ Fragments d'Ombre : 3604 ⊰ Multi-compte(s) : Anna & Jolynn ⊰ Nom de l'Avatar : mathias lauridsen ⊰ Crédits : applestorm ⊰ Couleur Rp : tan ⊰ Origine du Personnage : selenim samaëlien
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Sujet: Re: “I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos Lun 22 Juin - 18:55
I could easily forgive your pride
if you has not mortified mine
« Non mais, franchement, t'es vraiment qu'un gros dégueulasse, tu me plantes sans raison pour être avec … Lui. Depuis quand t'as perdu ta virilité, ça te fait kiffer de te faire ramoner le siphon ? » Un ''oui, et c'est mieux qu'avec toi'' te reste au fond de la gorge. C'est déplacé. Pour elle. Pour Orphan. Et même pour toi. « Tu permets, mon amour ? » Tu tiques. Même si ça sonne faux. Même si c'est pour faire semblant. C'est étrange de l'entendre te parler comme ça. Tu sens bien que ton petit jeu ne lui a pas plu. Mais tu ne t'en inquiètes pas pour le moment. Non, tu es trop préoccupé par le surnom et l'effet qu'il a produit sur toi. « Retires ce que tu as dit sur mon mec, connasse. » Tu tiques une seconde fois. Non vraiment, ça te fait bizarre. Mais tu n'arrives pas à déterminer si c'est une bonne ou mauvaise chose. Et pendant que tu analyses, Orphan ne se prive pas pour s'énerver. Néanmoins, tu le laisses faire. Ça ne sert à rien de l'arrêter, il est parti pour faire ce qu'il avait envie de faire. Tu observes la scène. Passivement. Sans un mot. Tu la regardes tomber. Tu les vois s'engueuler. Et clairement, tu n'aurais pas dû jouer sur ce plan là. Oui, tu voulais te débarrasser de Joyce. Et non, ça te fait pas grand chose qu'elle soit blessée. Mais, ça ne se fait pas. La violence, les combats, et tout ce qui gravite autour ne t'attire pas. Ça te révulse presque. Tu n'en vois pas l'intérêt. Surtout quand une issue est possible autrement.
Ils ont dû finir. Car elle se barre en aussi vite qu'elle le peut sur ses talons. Et Orphan revient vers toi. « Quoi ? J'ai crû comprendre que tu voulais qu'elle se casse, bah tu risques plus de la revoir avant un bon moment, surtout me dit pas merci. » Non, effectivement, tu ne vas pas lui dire merci pour ça. « Quand à toi, je t'interdis de rejouer avec mes sentiments comme ça, tu veux me rendre barge ? » Tu aimerais t'excuser. Mais ta fierté te l'interdit. Tu n'as rien fait de grave. Ce n'était pas malin, ok. Mais c'est loin d'être la fin du monde. Est-ce que c'est plus acceptable de cogner sur une femme sans défense ? Non, certainement pas. « Putain quand je pense que tu m'as sermonné comme personne, t'aimes ça manipuler les personnes ? T'aimes ça jouer les fausses personnes ? » Tu as l'impression d’entendre Sineya plusieurs siècles en arrière. Mais ta sœur n'est plus à tes côtés depuis longtemps. Elle n'est plus là pour calmer ta soif de contrôle et te faire redescendre sur terre. Tu es manipulateur et ton canalisateur a disparu dans la nature il y a longtemps. Et des fois, même si elle te manque, tu penses que c'est mieux ainsi. Tu fais ce que tu veux. Même si c'est au détriment d'autres personnes. Et aux dépends des sentiments d'Orphan. « Redescends de ton piédestal, mec t'as rien d'exceptionnel. Sauf pour moi apparemment ... » Que toi tu redescendes ? Et lui alors ? Mais il file dans la cuisine avant que tu puisses lui dire quoi que ce soit. Tu te prends un moment seul pour calmer ton irritation. Tu ne t'excuseras pas. C'est lui qui a dépassé les bornes. Ton attitude a le mérite d'avoir été pacifique. Mais ça ne t'empêche pas de t'en vouloir au moins un peu. Parce que malgré l'incident de la dernière fois, tu ne tiens pas spécialement à le blesser. Après toutes ses années, tu tiens à lui, non ?
Tu le retrouves dans la cuisine. Et le voir assis seul désappointé te fout un coup. Tu te retiens de lui faire une autre leçon de morale. A quoi ça peut bien servir de toute façon ? Tu ne le changeras pas. « Bon, j'me suis encore une fois laissé emporter par mes sentiments, j'vais pas m'excuser, j'ai l'impression de faire ça toutes les minutes depuis que je suis ici. » Ha non pas d'excuse ? Il vient de frapper une femme sans défense quand même. Alors qu'elle n'avait rien de menaçant. « Dommage. Parce que des excuses n'auraient pas été de trop encore une fois. » Bon voilà, maintenant que tu as placé ta pique, tu peux te calmer. « T'aurais quelque chose plus fort que la bière ? » Tu apprécies une nouvelle fois le changement de sujet. Décidément, il fait beaucoup plus d'efforts que toi. « Dans le bar, dans le salon. Et roule moi en une aussi, s'il te plaît. » Tu désignes rapidement l'herbe qu'il a devant lui. Avant de passer dans le salon pour vous servir quelque chose de plus puissant. Tu passes derrière le bar. Tu prends la première bouteille qui te passe sous la main, deux verres et tu vas poser le tout sur la table basse. Tu t'installes sur le canapé. Sans retenir un soupir. Bon et maintenant ? Il faut régler votre histoire, sinon ce petit manège risque de se répéter. Mais tu n'arrives plus à y voir clair. Il te rejoins. Et tu sais que tu ne peux pas esquiver éternellement. « Bon Orphan … » Tu verses l'alcool dans les deux verres. Tu prends le tien et bois une longue gorgée. Comme si ça pouvait t'aider. « Il faut vraiment qu'on mette les choses au point. On peut pas continuer comme ça longtemps. » Tu arrêtes de réfléchir. Ça ne mène à rien. Autant déballer brut ce que tu as à dire. « La vérité c'est que depuis la dernière fois, tu as foutu le bordel. » Et tu ne parles pas des clients. Non, il a foutu le bordel à l'intérieur de ta petite personne. En amenant un sujet auquel jamais tu n'aurais pensé. Ton orgueil t'a empêché de lui reparler après ton remballage. Mais tu as pensé à lui et à ce baiser quand même. « Mais tu ne peux pas t'emporter comme tu viens de le faire » Et ça y est tu recommences. Tu ne peux pas te retenir de lui dire comment il doit agir.
Orphan C. Hrafn
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Sujet: Re: “I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos Mer 24 Juin - 21:31
“I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.”
ft. Orphan & Elyos
« Dommage. Parce que des excuses n'auraient pas été de trop encore une fois. » Orphan soupira. Et bien non monsieur n'aura pas ce qu'il voulait ce soir. Son visage était fermé, ses mots sifflaient comme le sifflement sur serpent. Mais évidemment son visage devint plus doux quand Orphan lui parla de l'alcool, finalement, il n'avait pas tout à fait changé ! Il pointa le salon du doigts, alors que la cuisine était très moderne, le salon avait un côté très ancien, avec son lot de vieux meubles en bois. Assez cosy mais très propre et luxueux. « Dans le bar, dans le salon. Et roule moi en une aussi, s'il te plaît. » Orphan arqua le sourcil, qu'il lui en roule un ? Orphan se retint de ricaner, si ça lui faisait plaisir, Il fumait rarement et c'était la première fois qu'il demandait à fumer avec aussi peu d'alcool dans le sang. Quelque chose clochait, visiblement Orphan avait réussi à percer la carapace du Sélénim, la soirée promettait d'être intéressante, le corbeau était revenu vers lui par rédemption, mais c'était la curiosité qui le poussait à rester. Elyos normalement si sûr de lui paraissait troublé. Le métamorphe était relativement déprimé quand tu arrivas, son état était maintenant plus serein, un poids de moins sur les épaules. Alors qu'Elyos se dirigea vers le bar, Orphan roula un deuxième joint, et le rejoignit dans le salon. Il vit le Sélénim s'affaler sur le canapé, un soupir sortit de son corps. C'était bien la première fois qu'il ne le voyait pas soupirer d'exaspération. Il semblait fatigué, las. Orphan retira ses chaussures, attrapa deux cendriers qu'il disposa sur la table, et s'installa en tailleur sur le fauteuil. Il posa les deux cigarettes magiques sur la table.
« Bon, Orphan ... » Oui ? Cela sentait le règlement de compte. Elyos ouvrit la bouteille de Rhum et en versa dans les deux verres, le rhum ambrée était le péché mignon du métamorphe. Elyos posa ses lèvres sur le verre et en bu plus de la moitié. Il avait toujours une sacrée descente. . « Il faut vraiment qu'on mette les choses au point. On peut pas continuer comme ça longtemps. » Pour une fois, Orphan était d'accord avec lui, s'ils le réglaient pas ça maintenant, ils ne le feraient jamais.. Mais ce qui voulait dire que ce soir pourrait sceller leurs liens, ou alors les démêler, jusqu’à ce qu'il n'en reste plus rien. Un peu de pression, non ? « La vérité c'est que depuis la dernière fois, tu as foutu le bordel. » Orphan arqua le sourcil, c'est bon, il le savait qu'il avait foutu le bordel, Elyos lui avait assez rappeler. Orphan allait répondre quand il croisa son regard.Manifestement, il n'avait pas compris le sens de ses paroles, mais où avait – il foutu le bordel ? Dans sa tête, peut-être, Sûrement. Finalement, Orphan n'aura pas été le seul perturbé par cette histoire. Il attrapa son verre et bu une lampée, le rhum réchauffa sa gorge. « Mais tu ne peux pas t'emporter comme tu viens de le faire » Orphan tiqua, un frisson parcoura son corps. Il ne pouvait s'en empêcher, hein ? De lui dire tout le temps ce qu'il fallait faire, ce qui était bien ou mal. Il le faisait culpabiliser pour toutes les actions qui lui déplaisait. Avait-il un jour accepté une personne pour ce qu'elle l'était, sans penser à changer tous les petits comportements qui insupportait. Il avait le comportement d'une princesse. Et que fallait-il faire à une princesse ? Lui apprendre la vie. « Tu ne peux t'en empêcher, hein? » Orphan prit un joint, avança vers Elyos en passant par dessus la table basse. Il lui glissa le joint dans la bouche. Et planta ses yeux dans ceux du Sélénim « De dire à tout le monde ce qui doit faire, lui dire ce qui est bien ou mal? » Il sortit son briquet et alluma Elyos. Orphan avait peut être eu tord de rapprocher autant du Sélénim, une vague de sentiments se répandit dans son corps. Des frissons lui glissa dans l'échine. Orphan retourna dans le confort de son fauteuil, mais ses yeux n'avaient pas quittés ceux du Sélénim. « Mais sache, que jamais, je ne serais sous ton contrôle. Jamais. » Le corbeau devenait plus sombre. « Je sais reconnaître quand je fais des erreurs, mon attachement aux humains à dû déteindre sur moi. Je sais m'excuser quand il me parrait légitime de m'excuser. » Orphan soupira. C'était quitte ou double, mais au moins, cela aura le mérite d'être clair. « Je sais apprécier la franchise, je suis prêt à écouter les remarques, mais seulement quand ceux ci sont honnêtes et bienveillants. C'est tout, mais tu peux aller te faire foutre si c'est pour anéantir chaque petit comportement qui t'irrite. Je ne suis pas une poupée, je ne suis pas 'adaptable'. Et si tu ne peux pas m'accepter entièrement, c'est ton problème. » Orphan alluma son joint et tira une longue bouffée. « Tu connais mes sentiments, je suis prêt à t'accepter entièrement, mais la question est, si toi tu es prêt à m'accepter? » C'était dit, maintenant tout ce jouait.
Elyos K. Seldzar
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Sujet: Re: “I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos Jeu 25 Juin - 8:37
I could easily forgive your pride
if you has not mortified mine
« Tu ne peux t'en empêcher, hein ? De dire à tout le monde ce qui doit faire, lui dire ce qui est bien ou mal? » Il allume le joint qu'il vient de te mettre entre les lèvres. Et tu tires une latte pendant qu'il retourne s'asseoir. C'est qu'il s'emballe pour un rien en plus. Tu as juste fait une simple remarque. Une bonne remarque en plus. Pleine de bon sens. « Mais sache, que jamais, je ne serais sous ton contrôle. Jamais. » Ce n'est pas ce que tu souhaites. A moins que … sii ? Tu aimes tellement manipuler tout le monde que tu ne t'en rends plus compte. Mais il ne t'es jamais venu à l'idée d'utiliser ta capacité de persuasion sur le métamorphe. Malgré le nombre de fois où il a pu être assommé par l'alcool. Et pour toi, ça te suffit. Pour dire que tu ne veux pas le contrôler. Malgré tes sermons. Malgré tes remarques qu'elles soient déplacées ou non à ses yeux. Mais tu n'as pas le temps de l'en informer. Il s'enfonce dans un nouveau monologue. Et tu ne veux surtout pas l'interrompre. Tu risquerais de t'en prendre une aussi. « Je sais reconnaître quand je fais des erreurs, mon attachement aux humains à dû déteindre sur moi. Je sais m'excuser quand il me parait légitime de m'excuser. » Tu n'es pas d'accord. Il ne sait pas excusé pour avoir frappé Joyce. Alors qu'elle ne le méritait aucunement. Oui, ce qu'elle a dit ne t'a pas plu non plus. Mais quelques paroles d'une femme vexée ne donne pas le droit d'agir comme ça. C'est juste être civilisé que de ne pas répondre par les coups. C'est si dur à comprendre ? « Je sais apprécier la franchise, je suis prêt à écouter les remarques, mais seulement quand ceux ci sont honnêtes et bienveillantes. C'est tout. » Et bien alors, quel est le problème ? Parce que tu es tout ce qu'il y a de plus d’honnête. Et bienveillant aussi. Un jour il tombera sur quelqu'un de plus fort que lui. Il n'y a jamais pensé à ça ? Et si Joyce avait été une créature surnaturelle plus puissante et plus vieille que lui ? Même si tu l'avais voulu, tu n'aurais pas pu l'aider. Tu n'es clairement pas fait pour combattre. Et puis tu n'es pas toujours avec lui. C'est peut-être mieux ainsi finalement. As-tu vraiment besoin de quelqu'un d'aussi instable à tes côtés ?
Tu vides ton verre avant d'accuser le reste de ses revendications. « Mais tu peux aller te faire foutre si c'est pour anéantir chaque petit comportement qui t'irrite. Je ne suis pas une poupée, je ne suis pas 'adaptable'. Et si tu ne peux pas m'accepter entièrement, c'est ton problème. » C'est con, tu avais réussi à te calmer. Et il te cherche. Ça commence vraiment à devenir une mauvaise habitude. Il vient chez toi pour s'excuser puis il finit par frapper quelqu'un et à t'engueuler. C'est un comble. Pour qui il se prend, sérieusement ? Il exagère les choses. Encore et encore. Alors que tu ne fais que des remarques. Ce n'est rien. Vraiment. Là où tu dépasserais bornes si c'est tu le manipulais avec ta capacité. Mais tu te retiens. Tu n'en ressens même pas l'envie. Ce qui est bien dommage finalement. C'est peut-être le seul moyen pour toi de le calmer. Il devrait s'estimer heureux. Avec le nombre de personnes avec lesquelles tu ne t'es pas gêné de faire ça. Franchement, oui, il peut s'estimer heureux. « Tu connais mes sentiments, je suis prêt à t'accepter entièrement, mais la question est, si toi tu es prêt à m'accepter ? » Tu ne peux pas t'empêcher de rire. Par nervosité. Ou pour être sarcastique. Sûrement un peu des deux. « Ha oui, tu es prêt à m'accepter entièrement ? Excuse moi, mais tes reproches, tes revendications, ou peu importe comment tu les appelles, disent pourtant le contraire. » Si tu ne peux plus rien dire sans le vexer, ça ne va clairement plus fonctionner entre vous. Surtout si vous êtes autant bornés tous les deux. Et qu'il y en a aucun des deux pour arrêter. Enfin si, tu l'as fait avant de le vexer encore une fois.
Tu tires à nouveau sur ton joint. Au passage, ça freine une de tes descriptions péjoratives sur les métamorphes. Il est inutile de le chercher sur ce point aussi. Tu pourrais presque venir à en regretter ta femme avec cette histoire. Elle a beau voler ton indépendance, au moins elle est une selenim. Avec l'éducation qui va avec. L'entente est plus simple. Moins prise de tête. Tu dois être terriblement irrité pour penser à elle aussi positivement. « J'ai accepté tes excuses, j'étais prêt à passer à autre chose. » Mais il a encore une fois tout gâché, n'est-ce pas ? Tu es peut-être exigeant. Mais tu n'as pas l'impression de demander la lune. Juste quelques heures sans s'emporter. Putain, ce n'est pas si terrible, si ? N'importe qui peut y arriver. Pourquoi pas lui ? Tu te ressers un verre. Avant de le finir d'un trait dans la foulée. « Tu viens à mon travail, tu viens chez moi, et tu n'es pas capable de rester tranquille. Je ne me suis pas pointé pour foirer un de tes deals à ce que je sache. Bordel, mais qu'est-ce que je t'ai fait pour que toi tu permettes de faire des histoires ? » C'est à ton tour de tomber dans un monologue. Qui se veut pourtant calme. Tu ne hausses pas le ton. Tu arrives encore à te maîtriser. « Je ne te demande pas d'être parfait. Je ne cherche pas non plus à te contrôler. Alors arrête tes conneries. Je ne sais pas où tu vas chercher tout ça. » Tu aimerais bien parler à un adulte. Pas à un gosse qui fait un caprice toutes les heures. Il a juste besoin de grandir un peu. Tu n'as pourtant pas l'impression qu'il était comme ça avant Toronto. Tu as dû être berné par le taux d'alcool dans tes veines. « Et arrêtes avec ces yeux là, tu me mets mal à l'aise. » Sûrement parce que tu ne sais pas comment interpréter son regard. Mais finalement, tu n'aurais pas dû le ramener dans cette ville. Tout allait mieux avant. C'est dommage de ne le réaliser que maintenant. Alors que tu n'es pas loin de perdre son amitié. Ou plus. Ou peu importe. Tu ne veux pas en arriver là. Tu aimerais ne pas être aussi têtu que ça. Mais s'il ne fait pas d'efforts, pourquoi en ferais-tu ? C'est lui qui vient perturber ton quotidien aussi brusquement. Lui qui te demande de lui pardonner à chacune de ses conneries. N'est-ce pas déjà quelque chose de le faire à chaque fois ? Il devrait réaliser que tu tiens à lui, sinon ça fait longtemps que tu aurais coupé les ponts.
Orphan C. Hrafn
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⊰ Date d'arrivée à Toronto : 07/06/2015 ⊰ Nombre de Méfaits : 122 ⊰ Fragments d'Ombre : 3307 ⊰ Nom de l'Avatar : Travis Fimmel ⊰ Crédits : Romanova ⊰ Couleur Rp : White ⊰ Origine du Personnage : Changeur - Corbeau
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Sujet: Re: “I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos Jeu 25 Juin - 23:41
“I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.”
ft. Orphan & Elyos
Le sélénim éclata de rire, c'était un rire nerveux, comme celui que l'on fait quand on ne sait pas quoi répondre, ou alors quand le discours devant nous ne nous plaît pas. Peut être que le corbeau était encore allé trop loin, un doute s'installa en lui, ses mots étaient forts et durs, il en avait conscience, mais c'était un bien pour un rendu. Qu'allait-il répondre ? « Ha oui, tu es prêt à m'accepter entièrement ? Excuse moi, mais tes reproches, tes revendications, ou peu importe comment tu les appelles, disent pourtant le contraire. » Orphan le toisa du regard, il venait de balancer ce qu'il avait sur son cœur, ils voulaient parler de leur relation, aplanir les choses, mais il ne fallait en aucun cas, dire les choses qui fâchaient. Comment pouvaient-ils établir une relation saine dans ce cas là ? Le métamorphe exagérait toujours les choses, il le savait, c'était sa façon d’interagir avec les personnes, surtout ceux qu'il apprécie. Des fois ça passe, il se souvint de son mode d'interaction avec Katniss durant leur aventure, ils passaient leur temps à se chambrer, à s'insulter. Mais ils appréciaient vraiment. C'était plus compliqué avec Elyos, ils étaient bornés, l'un comme l'autre. Ni l'un ni l'autre ne voulait admettre qu'ils avaient tord. Cela compliquait les choses, Orphan aurait biens voulu prendre sur lui, s'excuser encore une fois, laisser couler la chose, mais Elyos ne s'était pas encore une fois excuser, Le corbeau estimait qu'il avait fait plus d'efforts que lui. Alors ce qu'avait dit Elyos le blessa profondément. Putain, mais il avait fait des efforts, il aurait voulu quoi, qu'Orphan arrive avec un fouet et se flagelle toute la nuit en pénitence ? Ils tirèrent tous les deux sur le joint, une effluve de fumée fruitée se propagea dans la place, Orphan se sentait plus calme, il avouait que l'herbe lui permettait de calmer ses nerfs, et qu'avant ce moment, il n'avait pas fumer depuis vingt quatre heures. Cela expliquait un peu le pourquoi du comment il s'était quelque peu énervé sur cette pauvre humaine. C'était vrai que depuis son escapade à Bordeciel, Orphan avait la frappa facile, beaucoup plus qu'avant, mais jamais, il n'avait tué un humain, jamais. Il en avait même sauver beaucoup d'une mort horrible.
« J'ai accepté tes excuses, j'étais prêt à passer à autre chose. » Tu étais ? Tu ne l'ai plus ? Une seule petite reproche et tu te fermes. Tu veux que je te rappelle le nombre de reproches que tu m'as balancé à la tronche ? Elyos se servit un verre qu'il vida cul sec. Il semblait perturbé, il ne disait pas ce qu'il avait au fond de lui. Orphan pouvait l'aider avec sa capacité, mais il ne le fit pas, il avait trop de respect pour lui voler cette part de secret. Mais l'envie devenait de plus en plus forte. Il savait que si le Sélénim s'en rendait compte, ça en était fini de cette histoire. Définitivement, et il ne voulait pas ça. Il n'avait qu'une envie là, s'était de s'endormir dans ses bras, malgré toutes les remontrances qu'il lui avait fait, malgré son détachement. Il voulait finir dans ses bras ce soir. L'aimait-il vraiment ? Il ne le savait pas, il ne pouvait le savoir avant d'être passé à l'acte. C'était peut-être peine perdu, avait-il déjà ressenti quelque chose pour un homme, sûrement pas, il avait une femme dans le passé. Mais, il se passait quelque chose, Orphan en était sur, sinon, il aurait encore une fois fini à la porte. « Tu viens à mon travail, tu viens chez moi, et tu n'es pas capable de rester tranquille. Je ne me suis pas pointé pour foirer un de tes deals à ce que je sache. Bordel, mais qu'est-ce que je t'ai fait pour que toi tu permettes de faire des histoires ? » Orphan sourit, son état second l’empêchait de s'irriter pour un oui ou pour un non comme il l'avait fait auparavant. Il avait ensorcelé le corbeau, c'était tout. Il était tombé sous son charme, sous son humour, sa fierté.son être tout entier. Qui aime bien, châtie bien. Ok, il ne l'avait pas provoquer, il ne l'avait pas chercher, mais le fait qu'ils soient toujours, là tous les deux à fumer et picoler était révélateur d'une chose ? Le Sélénim tenait au métamorphe. « Je ne te demande pas d'être parfait. Je ne cherche pas non plus à te contrôler. Alors arrête tes conneries. Je ne sais pas où tu vas chercher tout ça. » Orphan apprécia ses paroles, peut-être avait-il mal compris ses propos, ses intonations, ses pensées sous-jacentes. C'était tellement compliqué de percevoir ce qu'il se passait à l'intérieur de son hôte. « Et arrêtes avec ces yeux là, tu me mets mal à l'aise. » Orphan esquissa un sourire, ses yeux avaient souvent cette impression, son regard mettait mal à l'aise, il avait charmé un bon nombre de personnes. Il en avait terrorisé le même nombre. Il avait cet atout, il s'en servait souvent. Orphan était calme et serein, il ne s'énerverait plus, du moins pour un moment. « Tu me demandes pas de baisser le regard quand même. » Son ton n'était ni accusateur, ni blameur. C'était une remarque, ni plus ni moins. Il ne savait pas quoi répondre, avait-il envie de lui en vouloir ? Manifestement non, il se sentait bien. « Elyos, mes mots sont durs, mais je te rappelle que les tiens n'étaient pas mieux. Ce jour là, j'aurai pu pardonner ta fierté, si tu n'avais pas anéanti la mienne. Je sais que tu ne me méprises pas, sinon je ne serais pas là, mais le cul par terre sur le porche. » Orphan soupira, mais pourquoi il ne pouvait pas s’empêcher de devoir toujours, tout lui justifier. « J'peux pas m’empêcher de faire le malin, je sais, ça t'énerve. Les personnes ne réagissent pas de la même manière quand ils sont perturbés. Moi je fais mon malin, c'est ma façon de cacher ma faiblesse. Et puis, t'es mignon quand tu t'énerves. » Orphan se leva et se resservi un verre, il avait liquidé, une bonne partie de la bouteille. Il retira une bouffée et but une gorgée, il n'avait plus aucune animosité en lui, la fumée l'aidait à se calmer et l'alcool désinhiba un peu ses sentiments. «J'assume ce que je viens de dire, car même si j'avais une mauvaise vision de toi, je l'ai pensé à un moment, cela à donc existé. Quand j'ai dit que j'étais prêt à t'accepter, c'était sincère, je peux accepter tes travers, peut-être parce qu'il m'a charmé à un moment. » Orphan était pensif, il repensait aux mots d'Elyos. « Qu'est que tu disais, quand tu m'as dit que j'avais foutu le bordel ? » Orphan finit son verre et attendit la réponse de la personne qu'il aimait tant.
Elyos K. Seldzar
the offspring of angels.
⊰ Date d'arrivée à Toronto : 22/05/2015 ⊰ Nombre de Méfaits : 756 ⊰ Fragments d'Ombre : 3604 ⊰ Multi-compte(s) : Anna & Jolynn ⊰ Nom de l'Avatar : mathias lauridsen ⊰ Crédits : applestorm ⊰ Couleur Rp : tan ⊰ Origine du Personnage : selenim samaëlien
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Sujet: Re: “I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos Dim 28 Juin - 14:02
I could easily forgive your pride
if you has not mortified mine
« Tu me demandes pas de baisser le regard quand même. » Tu souris. « Non, je n'oserai pas. » Tu espères que ça clôture le sujet. Mais non. Il continue d'insister. « Elyos, mes mots sont durs, mais je te rappelle que les tiens n'étaient pas mieux. » Tu maintiens que tes mots étaient justifiés. Et les siens non. Mais tu te retiens d'en rajouter. Encore une fois. Est-ce qu'il se rend compte des efforts que tu fais pour lui ? Que les remarques que tu lui lances ne sont pas aussi nombreuses que celles dans ton esprit. « Ce jour là, j'aurai pu pardonner ta fierté, si tu n'avais pas anéanti la mienne. Je sais que tu ne me méprises pas, sinon je ne serais pas là, mais le cul par terre sur le porche. » Il a sûrement raison. Il te comprend plutôt bien. Quand il le veut. C'est dommage que ça ne puisse pas refréner certains de ses gestes. Tout le monde s'en porterait mieux. Toi. Lui. Et cette pauvre Joyce. « J'peux pas m’empêcher de faire le malin, je sais, ça t'énerve. Les personnes ne réagissent pas de la même manière quand ils sont perturbés. Moi je fais mon malin, c'est ma façon de cacher ma faiblesse. » Parce que ça excuse son comportement ? Certainement pas. Tout le monde fait des efforts sur ses habitudes. Pour ne pas froisser. Pour ne pas vexer. Pour ne pas contrarier. Ce n'est donc pas comme ça qu'on survie en société ?
« Et puis, t'es mignon quand tu t'énerves. » Est-ce que ça te met aussi mal à l'aise que son précédent regard ? Non. Plus encore. Parce que tu n'as toujours pas réussi à savoir ce que tu aimerais. Entre vous. Et ce blabla ne t'aide en rien à te décider. Il te faudrait quelque chose de plus. Que ce soit du temps. Ou un autre geste de sa part. Déplacé ou non. Mais tu doutes que la dernière solution puisse se réaliser. Tant que tu ne lui montres pas une ouverture. Ce que tu n'es pas prêt à faire. Tant que tu ne sais pas ce que tu souhaites. Alors à moins qu'il tente sa chance quand même. Il te faudra du temps. « J'assume ce que je viens de dire, car même si j'avais une mauvaise vision de toi, je l'ai pensé à un moment, cela a donc existé. Quand j'ai dit que j'étais prêt à t'accepter, c'était sincère, je peux accepter tes travers, peut-être parce qu'ils m'ont charmé à un moment. » Qu'est-ce que tu peux bien répondre à ça ? Là, au moins, tu sais que rien n'a été réciproque par le passé. Sinon, tu ne te serais pas emmerdé avec cette discussion. Et vous feriez déjà autre chose. Que juste parler. « Qu'est que tu disais, quand tu m'as dit que j'avais foutu le bordel ? » Tu n'as pas envie d'en parler. D'ailleurs ce genre de longues discussions c'est loin d'être ton truc. Tu n'en vois pas l'intérêt. C'est inutile de s'étaler. Tu es concis. Et peu loquasse quand il s'agit d'exprimer ce qui peut bien se passer dans ta tête. Sinon ça fait longtemps que tu aurais parlé à Phoenix de votre relation non sérieuse. Sinon tu aurais prévenu ta femme que votre mariage t'enfermait dans une cage. Au lieu de te barrer sans explication. « Rien d'important. » Tu veux mettre fin à vos discours beaucoup trop longs. Tu ne veux plus régler votre histoire. S'il y en a vraiment une. Tu t'es expliqué. Lui aussi. Il faut s'arrêter là maintenant. Tant que tu n'as pas réfléchis dans ton coin. Sur ce que tu veux vraiment. Et ce n'est pas pour ce soir. Ou tant qu'il se montre plus entreprenant. Alors quoi, tu changes de sujet ? Tu mets fin à la soirée ? Apparemment tu choisis le silence. Parce qu'il s'installe doucement. Sans que tu ne cherches à le briser. Tu finis ton joint. Un autre verre. Pendant ce temps. Tu te lèves. Pour aller chercher une autre bouteille derrière le bar. Parce que non, tu n'as décidément pas assez bu. Et tu finis par t'installer au fond du canapé. Presque épuisé. Découragé. Tu n'imaginais par finir cette journée comme ça. Aussi indécis. Et accompagné d'Orphan. D'ailleurs, il faudrait penser à éclater ce silence. Ça commence à en devenir gênant. Tu fais un dernier effort. Même si tu as presque perdu envie de parler. « Désolé, je ne sais pas quoi te dire de plus. » Bon, c'est déjà quelque chose. Même si tu n'encourages rien. Même si tu fais comprendre que tu n'es plus d'humeur à parler.
Orphan C. Hrafn
the skinwalker.
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Sujet: Re: “I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos Ven 3 Juil - 23:28
“I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.”
ft. Orphan & Elyos
« Rien d'important. » Rien d'important, vraiment rien d'important ? Le corbeau resta dubitatif, il ne savait pas quoi faire, visiblement, le Sélénim ne voulait plus parler, ils avaient à peine commencer, quelques dizaines de minutes s'étaient écoulés depuis qu'ils avaient commencés à converser dans le salon, pas plus de vingts minutes. Etait – il déjà las de sa présence ? Tout un tas d'émotion remontèrent à la gueule d'Orphan, et pas forcément des émotions positives. Et si son bien aimé se jouait-il de lui, s'il ne l'avait invité à rentrer que pour piétiner entre plus longuement sur son cœur fracturé. Et s'il n'était qu'en fait, qu'un bel enfoiré. Il ne s'était encore pas encore exprimer sur ce qu'il ressentait, lui. C'était pas important à ce qui parait. Il n'avait fait que rabaisser le corbeau, remuer le couteau dans la plaie, il n'avait pas montré une once de sympathie. Il s'était contenté de lui faire la poker face et le réprimander, comme il sait si bien faire. L'espace d'un instant, Orphan était partagé entre le fait de l'embrasser ou de lui arracher la tête pour en faire du hachis.
Quel connard. Sur tous les connards sur terre, il avait choisi un bien gratiné. La plus grande victoire du Sélénim était qu'Orphan était incapable de lui en vouloir à chaque fois qu'il croisait son regard. Il avait envie de péter un câble, de tout péter dans cette maison de bourge, de secouer de toutes ses forces, de le sortir de cette léthargie insupportable. Mais il ne fit rien, absolument rien. Lui qui se sentait bien il n'y a même pas 5 minutes, ses pensées le rattrapèrent et le revoilà au fond du trou. Elyos pouvait être fier, il avait encore réussi son coup. Orphan s'enfonça dans le fauteuil, sa gorge commença à se serrer et ses yeux déjà dilatés par le joint devinrent de plus en plus humides, il baissa le regard, comme ça « il ne le mettra plus mal à l'aise. » Quelle connerie.
Un silence de mort s'installa. Et ce n'était pas Orphan qui le briserait. Il commençait à plus se sentir à sa place, la fioriture de la maison le stressait de plus en plus. Il n'allait pas exploser, il allait imploser. Il serait la seule victime de son état. Du coin de l'œil, il vit le Sélénim se lever et ouvrir une autre bouteille. Lui écrasa son joint à peine fini et finit son verre. Il avait envie de rentrer, nn même pas, il avait envie d'aller loin, très loin, jusqu'au bout du monde s'il le pouvait. Il avait envie d'arracher son cœur, ce sentiment si pernicieux qu'était l'amour. Le remplacer par de la pierre, ça faisait moins mal la pierre.
« Désolé, je ne sais pas quoi te dire de plus. » Une pensée traversa l'esprit du corbeau, celle de lui cracher à la figure. Il se retint évidemment. Il ne voulait pas déclencher encore une énième crise d'hystérie. Un énorme soupir remplaça cette pensée. Il ne voyait pas d'autre solution à cette situation que de partir. Il n'aimait pas cette idée, il avait toujours ce petit espoir de passer la nuit avec cet homme. Mais, à ce stade de la soirée, cet espoir se brisa en milles morceaux. Elyos ne ferait jamais un seul pas vers lui et ce n'était pas de cette relation qu'Orphan avait envie avec lui. La réciprocité dans l'histoire ? Orphan se redressa et remit ses chaussures, toujours dans le silence le plus complet. Ses yeux étaient humides et ces gestes incertains. Lui qui se croyait fort, eh bah c'était raté ! Actuellement, il ne fallait pas mieux que les princesses qu'il méprisait tant. Il prit son sachet d'herbe et le lança sur la table basse. « Tiens, comme ça tu n'auras pas à me revoir avant un bout de temps. » Sa voix était branlante, il prit la direction de la sortie, mais il se ravisa sur le porche du salon. « Néanmoins, tu as mon numéro, au cas où ... » Il marcha ainsi vers la porte d'entrée et sortit dehors, un froid froid lui piqua les yeux. Orphan marchera jusqu'a chez lui. Il avait besoin de marcher, son coeur était sérré, s'il avait su qu'il partirait encore plus perdu qu'en arrivant, il serait pas venu. Une goutte lui chatouilla le nez. Il mit la capuche de son sweat. Voilà qu'il commençait à pleuvoir.
Ah! Ce qu'il se sent pas bien Dans cette fichue peau de chagrin, d'amour. Il n'a rien d'autre sur le cœur, Que cette épluchure de douleur, autour. Elle est pleine de tâches de sanglot, Avec cette pluie, il a l'air d'un gros, balourd Mais le bonheur est un passant, Alors il guette son parfum en velours.
Orphan C. Hrafn
the skinwalker.
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Sujet: Re: “I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos Dim 5 Juil - 12:17
RP terminé !
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Sujet: Re: “I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos
“I could easily forgive your pride, if you has not mortified mine.” Ft Elyos